PDR 34 : Le SNES dans les organisations internationales
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Ce numéro 34 prend place dans le cadre des synthèses thématiques publiées dans Points de Repères. Il porte sur un sujet qui n’a jamais été la première préoccupation des syndiqués, voire des militants, qui ont souvent ignoré la signification même des sigles des organisations internationales enseignantes (FIPESO, CMOPE, FISE, SPIE...) et ce qu’elles recouvraient.
Pourtant chacun pourra, à la lecture de ce dossier, se rendre compte de l’importance qu’ont revêtu ‒ et que revêtent toujours ‒ la présence et l’activité du SNES dans ces organisations à l’heure de la mondialisation qui n’a pas commencé qu’au début de ce siècle. L’éducation institutionnalisée par l’école est en effet une des premières préoccupations des sociétés, des États et des organisations mondiales comme l’UNESCO.
Plutôt que de faire un exposé suivi de cette histoire, nous avons préféré faire appel aux acteurs qui racontent et analysent leurs expériences. L’idée de départ vient d’un travail que Louis Weber avait fait sur l’histoire de la FIPESO et de la CMOPE qui disparurent au profit de l’IE, travail dont il avait ressenti la nécessité après un colloque sur les archives africaines organisé par le CODHOS en 2011 et pour lequel il était intervenu pour parler du Programme africain de la FIPESO dans les années 1980. Il nous a semblé ensuite qu’il fallait donner la parole à l’un de ces prédécesseurs, François Blanchard (André Drubay étant décédé et Jean Petite étant éloigné) et finir par celui qui lui a succédé à la CSEE, Jean-Marie Maillard. Les responsables actuels, Roger Ferrari et Odile Cordelier, ont suivi ensuite leur trace, histoire qu’il faudra écrire aussi un jour.
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